Projets en développement

"Coups de théâtre au Kurdistan"

Une troupe de théâtre de rue Picarde au Kurdistan Irakien.

 

Un film de Jérôme Palteau co-réalisé avec Stéphane Kenech

 

La Compagnie « L’Acte Théâtral », dirigée par Vincent Martin, existe à Compiègne depuis les années 80, j’ai eu l’occasion de les accompagner sur plusieurs de leurs spectacles de rue ou sur scène, soit pour en capter les instants les plus riches, soit lorsque la caméra et l’écran en faisaient partie intégrante. Elle se produit régulièrement dans les quartiers populaires de grandes villes en Hauts-de-France ou ailleurs.

Cette équipe possède des capacités à s’adapter, improviser, créer, modifier, dans des conditions de délais réputés impossibles, à donner vie à des idées les plus fantaisistes en apparence, à mener tambour battant des projets dont on craint l’échec jusqu’à la dernière minute, bref : à se mettre en danger. Dans la fièvre permanente et le doute qui précèdent chaque fois l’aboutissement d’un projet, une comédienne de la troupe a bien résumé l’esprit : « Règle numéro 1 : faire toujours confiance à Vincent.»

Un matin de juin 2019, celui-ci m’appelle pour me dire qu’il vient d’avoir une proposition pour partir en tournée au Kurdistan Irakien seulement 3 semaines avant le départ, et me propose de les accompagner.

Stéphane Kenech, grand reporter TV qui connaît très bien la région décide de se joindre au projet. Il est enthousiaste à l’idée de raconter une belle histoire dans ce pays qu’il aime mais où il n’a couvert que des guerres jusqu’alors.
Parmi les différents spectacles (de rue, de cirque, de théâtre…ou tout à la fois) que l’Acte Théâtral a créé depuis bientôt 40 ans, « Les Dutunnel » est celui qui a été choisi.

Il raconte l’histoire de rencontres entre des familles, le travail, les vacances, l’amour, les mariages, les fêtes, les disputes, les conflits entre cultures et générations, les deuils, mais aussi les réconciliations et la fraternité. Le tout en décors, costumes et bande sonore que la désuétude rend paradoxalement intemporel.

"L’ ultime amour" ( titre provisoire du film )

PROJET DE LONG MÉTRAGE : 75 MIN

 

D’APRÈS LE LIVRE DE TAHAR BEN JELLOUN  

« L’ABLATION »

SYNOPSIS :

SEUL, UN HOMME D’UNE SOIXANTAINE D’ANNÉES, SE LIVRE À UN DIALOGUE IMAGINAIRE AVEC SON ÉPOUSE, CATHERINE, DÉCÉDÉE BRUTALEMENT 10 ANS PLUS TÔT. IL LUI RACONTE SON PARCOURS ’HOMME BLESSÉ, ATTEINT AU PLUS PROFOND DE SA VIRILITÉ. C’EST AUSSI L’OCCASION POUR LUI DE FAIRE LE BILAN DE SA VIE ET DES SENTIMENTS QU’IL A ÉPROUVÉ POUR CETTE FEMME QUI FUT SON SEUL VRAI AMOUR. IL EN SORTIRA DES SOUVENIRS ÉMUS, DES DOUTES, DES REGRETS, MAIS AUSSI UNE FORCE NOUVELLE ISSUE DE SON COMBAT CONTRE LA MALADIE, ET UNE FORME D’ESPOIR POUR LUI ET LES AUTRES.

 

NOTE DU RÉALISATEUR :

« Adapter un sujet aussi difficile et peu engageant du roman au théâtre était déjà un défi qu’ont relevé haut la main Robert Benoit et Natalia Apekisheva, restait le plus difficile : faire venir les spectateurs dans la salle. Nous avons pourtant vu le succès remporté lors des représentations organisées récemment à Auxerre et Besançon, certes auprès d’un public averti et concerné..

Mais lorsque le néophyte découvre le travail d’adaptation, la mise en scène, le jeu de Robert Benoit et le magnifique texte de Tahar Ben Jelloun, il entre littéralement dans la peau du personnage et partage ses émotions.
Adapter ce récit en film est un autre défi, mais l’imaginaire produit des images, des sons, des couleurs, une fabrique de souvenirs et d’impressions.
Le jeu de Robert Benoit a déjà quelque chose de cinématographique, et le champ de la caméra permet d’en extraire toute la substance en redécoupant l’espace théâtral.
Le défi est de sortir de cette dimension théâtrale tout en conservant le principe du comédien non plus « seul en scène » mais seul à l’image, pour préserver cette dimension d’intimité avec le spectateur, ce dialogue face à face qui le touche, qu’il soit concerné par la maladie  ou non. »

cinéaste-réalisateur Jérôme Palteau.

Mission Maroc / Défense sans Frontières / Avocats Solidaires

Projet documentaire sur la formation « Sensibilisation aux droits des femmes et des enfants » afin d’informer et d’assister des femmes investies dans le Réseau Provincial des Associations Féminines (REPAF) de la région de Ouarzazate (MAROC) en raison des problèmes de violation des droits des femmes et des enfants.

Le REPAF regroupe les responsables de diverses associations féminines marocaines, soit 34 déléguées et 11 cadres administratifs, toutes invitées à participer à cette formation qui leur permettra à leur tour de mener des actions de sensibilisation auprès des femmes et des enfants qu’elles sont amenées à rencontrer dans le cadre de leur fonction.

Trois membres de l’association Défense Sans frontière – Avocats Solidaires se proposaient pour cette mission : Martine Jacquin, Caroline Mangold et Evelyne Boileau-Brandomir, accompagnées du cinéaste-réalisateur Jérôme Palteau.

Les Yézidis / Pour que justice soit faite

Un groupe d’avocats bénévoles a entreprit de constituer les dossiers contribuant à la reconnaissance du martyr du peuple Yézidi par la communauté internationale, et permettre à terme d’identifier les criminels dans l’espoir qu’un jour ils seront sur les bancs du Tribunal Pénal International, pour Crimes de Guerre, Crimes contre l’Humanité et Génocide.
En Grèce, en Allemagne et en Irak dans les camps de réfugiés ou les foyers d’hébergement, ils recueillent des témoignages dont l’horreur dépasse l’imagination.

Cette histoire, c’est surtout celle de l’engagement de ce groupe d’avocats.

Pourquoi le font-ils ? Alors qu’on ne peut que douter du résultat tant la tâche est immense, et que si même elle aboutit, ils n’en verront peut-être pas l’issue avant plusieurs décennies.

Célestin, témoin de la Grande Guerre

Le projet cinématographique de Célestin le Poilu, témoin de la Grande Guerre, est porté par l’association compiegnoise « Caravansérail21.org » avec le soutien technique de la société de production Vic Production.

L’équipe a d’ores et déjà obtenu le label de la Mission centenaire, un accord de diffusion sur France 3 Picardie, ainsi que le soutien ou la participation pour les tournages de l’historial de Péronne, du musée Somme 1916 d’Albert, de l’association des amis de l’Îlot ou encore de Yola d’Alcantara, propriétaire du château de Querrieu.

«Nous sommes en contact avec les ambassades des pays qui ont participé au conflit et, pour nous permettre de continuer à tourner des épisodes de cette série, nous sommes à la recherche de partenaires financiers, publics ou privés » – dit le réalisateur  Jérôme Palteau.

Projets documentaires de Vic Production